Biologic response modifiers to decrease inflammation: Focus on infection risks
- PMID: 23449972
- PMCID: PMC3287096
- DOI: 10.1093/pch/17.3.147
Biologic response modifiers to decrease inflammation: Focus on infection risks
Abstract
Biologic response modifiers are a novel class of drugs used by sub-specialists to treat immune-mediated conditions such as juvenile idiopathic arthritis and inflammatory bowel disease. Also known as 'cytokine inhibitors', they are proteins whose purpose is to block the action of cytokines involved in inflammation. The desired therapeutic effect is to reduce or control inflammation. Tumour necrosis factor-α (TNF-α) inhibitors are the prototypes, but newer agents in this class target other cytokines such as interleukin(IL)-6, IL-12, and IL-23, or the proteins that target cytokine receptors on lymphocytes. They typically act by inhibiting the normal inflammatory processes involved in the immune response, particularly for macrophages. These agents are often used in combination with other immunosuppressive drugs such as methotrexate or steroids. The immune-modulating effects can persist days to weeks after discontinuation. Evidence indicates that patients treated with biologic response modifiers are at higher risk of tuberculosis infection and may be at higher risk of fungal or other infections with intracellular pathogens. This practice point offers guidelines on the preventive strategies that should be used in patients who will be or who are taking these immune-modifying agents.
Biologic response modifiers are a novel class of drugs used by sub-specialists to treat immune-mediated conditions such as juvenile idiopathic arthritis and inflammatory bowel disease. Also known as ‘cytokine inhibitors’, they are proteins whose purpose is to block the action of cytokines involved in inflammation. The desired therapeutic effect is to reduce or control inflammation. Tumour necrosis factor-α (TNF-α) inhibitors are the prototypes, but newer agents in this class target other cytokines such as interleukin(IL)-6, IL-12, and IL-23, or the proteins that target cytokine receptors on lymphocytes. They typically act by inhibiting the normal inflammatory processes involved in the immune response, particularly for macrophages. These agents are often used in combination with other immunosuppressive drugs such as methotrexate or steroids. The immune-modulating effects can persist days to weeks after discontinuation. Evidence indicates that patients treated with biologic response modifiers are at higher risk of tuberculosis infection and may be at higher risk of fungal or other infections with intracellular pathogens. This practice point offers guidelines on the preventive strategies that should be used in patients who will be or who are taking these immune-modifying agents.
Les modificateurs de la réponse biologique sont une nouvelle catégorie de médicaments qu’utilisent les surspécialistes pour traiter des maladies d’origine immunologique comme l’arthrite juvénile idiopathique et les maladies inflammatoires de l’intestin. Également connus sous le nom d’« inhibiteurs de la cytokine », ce sont des protéines qui visent à bloquer l’action des cytokines qui participent à l’inflammation. L’effet thérapeutique souhaité consiste à réduire ou à contrôler l’inflammation. Les inhibiteurs du facteur de nécrose tumorale α (TNF-α) en sont les prototypes, mais les agents les plus récents de cette catégorie ciblent d’autres cytokines, tels que l’interleukine (IL)-6, l’IL-12 et l’IL-23 ou les protéines qui ciblent les récepteurs de la cytokine sur les lymphocytes. D’ordinaire, ils agissent en inhibant les processus inflammatoires normaux qui participent à la réaction immunitaire, notamment les macrophages. Ces agents sont souvent utilisés en association avec d’autres immunosuppresseurs, tels que le méthotrexate ou les stéroïdes. Les effets de modulation immunologique peuvent persister de quelques jours à quelques semaines après l’arrêt du traitement. Selon les données probantes, les patients traités au moyen de modificateurs de la réponse biologique sont plus vulnérables à l’infection tuberculeuse et peut-être aux infections fongiques ou à d’autres infections contenant des pathogènes intracellulaires. Le présent point de pratique contient des lignes directrices sur les stratégies préventives qui devraient être utilisées auprès des patients qui prennent ou prendront ces agents.
Les modificateurs de la réponse biologique sont une nouvelle catégorie de médicaments qu’utilisent les surspécialistes pour traiter des maladies d’origine immunologique comme l’arthrite juvénile idiopathique et les maladies inflammatoires de l’intestin. Également connus sous le nom d’« inhibiteurs de la cytokine », ce sont des protéines qui visent à bloquer l’action des cytokines qui participent à l’inflammation. L’effet thérapeutique souhaité consiste à réduire ou à contrôler l’inflammation. Les inhibiteurs du facteur de nécrose tumorale α (TNF-α) en sont les prototypes, mais les agents les plus récents de cette catégorie ciblent d’autres cytokines, tels que l’interleukine (IL)-6, l’IL-12 et l’IL-23 ou les protéines qui ciblent les récepteurs de la cytokine sur les lymphocytes. D’ordinaire, ils agissent en inhibant les processus inflammatoires normaux qui participent à la réaction immunitaire, notamment les macrophages. Ces agents sont souvent utilisés en association avec d’autres immunosuppresseurs, tels que le méthotrexate ou les stéroïdes. Les effets de modulation immunologique peuvent persister de quelques jours à quelques semaines après l’arrêt du traitement. Selon les données probantes, les patients traités au moyen de modificateurs de la réponse biologique sont plus vulnérables à l’infection tuberculeuse et peut-être aux infections fongiques ou à d’autres infections contenant des pathogènes intracellulaires. Le présent point de pratique contient des lignes directrices sur les stratégies préventives qui devraient être utilisées auprès des patients qui prennent ou prendront ces agents.
Keywords: Immune modulators; Infection; Juvenile idiopathic arthritis; Macrophages; TNF-α; Tuberculosis.
References
-
- Solomon DH, Lunt M, Schneeweiss S. The risk of infection associated with tumor necrosis factor alpha antagonists: Making sense of epidemiologic evidence. Arthritis Rheum. 2008;58(4):919–28. - PubMed
-
- Tsiodras S, Samonis G, Boumpas DT, Kontoyiannis DP. Fungal infections complicating tumor necrosis factor alpha blockade therapy. Mayo Clin Proc. 2008;83(2):181–94. - PubMed
-
- Wallis RS. Infectious complications of tumor necrosis factor blockade. Curr Opin Infect Dis. 2009;22(4):403–9. - PubMed
-
- Thompson AE, Rieder SW, Pope JE. Tumor necrosis factor therapy and the risk of serious infection and malignancy in patients with early rheumatoid arthritis: A meta-analysis of randomized controlled trials. Arthritis Rheum. 2011;63(6):1479–85. - PubMed
LinkOut - more resources
Full Text Sources