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Comparative Study
. 2013 May;35(5):461-467.
doi: 10.1016/S1701-2163(15)30937-3.

Sacral colpopexy versus transvaginal mesh colpopexy in obese patients

Affiliations
Comparative Study

Sacral colpopexy versus transvaginal mesh colpopexy in obese patients

Colleen D McDermott et al. J Obstet Gynaecol Can. 2013 May.

Abstract

Objectives: Obesity can predispose women to pelvic organ prolapse and can also affect the success of pelvic organ prolapse surgery. The purpose of this study was to compare the postoperative anatomical outcomes following sacral colpopexy (SC) and transvaginal mesh colpopexy in a group of obese women with pelvic organ prolapse.

Methods: We conducted a retrospective cohort study of obese women who underwent SC (n = 56) or transvaginal mesh colpopexy (n = 35). Follow-up ranged from 6 to 12 months. Preoperative, perioperative, and postoperative variables were compared using Student t, Mann-Whitney U, and Fisher exact tests, and by analysis of covariance.

Results: The women in the SC group had significantly higher mean apical vaginal measurements (P < 0.05), and significantly fewer stage II recurrences than women in the transvaginal mesh colpopexy group. There were no significant differences between the groups for other postoperative outcomes, including mesh erosion, recurrent prolapse symptoms, dyspareunia, and surgical satisfaction (P > 0.05).

Conclusion: In these 91 obese patients with pelvic organ prolapse, SC resulted in better anatomical outcomes than transvaginal mesh colpopexy. However, the two procedures had similar outcomes with regard to recurrent symptoms and surgical satisfaction.

Objectifs : L’obésité peut prédisposer les femmes au prolapsus des organes pelviens et peut également affecter la réussite de la chirurgie visant à rectifier ce dernier. Cette étude avait pour objectif de comparer, chez un groupe de femmes obèses présentant un prolapsus des organes pelviens, les issues anatomiques postopératoires constatées à la suite d’une colpopexie sacrée (CS) à celles qui sont constatées à la suite d’une colpopexie par treillis transvaginal. Méthodes : Nous avons mené une étude de cohorte rétrospective portant sur des femmes obèses qui ont subi une CS (n = 56) ou une colpopexie par treillis transvaginal (n = 35). Le suivi a été d’une durée allant de six à douze mois. Les variables préopératoires, périopératoires et postopératoires ont été comparées au moyen des tests t de Student, U de Mann–Whitney et exact de Fisher, ainsi qu’au moyen d’une analyse de covariance. Résultats : Les femmes du groupe « CS » présentaient des mesures vaginales apicales moyennes considérablement plus élevées (P < 0,05) et des récurrences de stade II considérablement moins fréquentes que les femmes du groupe « colpopexie par treillis transvaginal ». Aucune différence significative n’a été constatée entre les groupes en ce qui concerne d’autres issues postopératoires, y compris l’érosion du treillis, les symptômes récurrents de prolapsus, la dyspareunie et la satisfaction chirurgicale (P > 0,05). Conclusion : Chez ces 91 patientes obèses présentant un prolapsus des organes pelviens, la CS s’est soldée en de meilleures issues anatomiques que la colpopexie par treillis transvaginal. Toutefois, ces deux interventions ont obtenu des issues similaires pour ce qui est des symptômes récurrents et de la satisfaction chirurgicale.

Keywords: Prolift; mesh; obese; prolapse; sacral colpopexy.

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